Collection 05


DIFFUSION : FRANCE 3
« CHRONIQUES D’EN HAUT » – LAURENT GUILLAUME

Durée des épisodes : 6 minutes


Mont Soleil

Sur le Mont Soleil, dans le Jura Bernois, une double installation éolienne et photovoltaïque est installée à 1300 m d’altitude.
Un cas unique en montagne.
– REPORTAGE DE CHRISTOPHE FERRUX –

 

Feu de tout bois

Dans le haut Jura la forêt couvre 75% du territoire. Pas étonnant dans ces conditions que la région soit pilote dans l’utilisation d’un nouveau mode de chauffage au bois..
– REPORTAGE DE CHRISTOPHE FERRUX –

 

Ski rando

Pour Maxence Talenti, chaque jour, c’est ski de rando, boulot, dodo.
Ce savoyard d’origine est aujourd’hui propriétaire d’un magnifique restaurant d’altitude, situé à 2 300 m., sur l’un des plus grands domaines skiables de France : la Plagne. Mais alors que ses propres employés utilisent remontées mécaniques ou autre chenillette pour venir travailler, Maxence préfère un moyen beaucoup plus sportif , le ski de randonnée.
Besoin de se dépenser, et de s’entraîner pour l’été, mais aussi plaisir de retrouver une montagne belle et silencieuse, lorsque le soleil se couche sur les pistes désertées..
– REALISATION : MARC DE LANGENHAGEN –

 

Profession nivologue

Le BRA : c’est le bulletin de prévision des risques d’avalanche, fourni chaque jour par les spécialistes de Météo France. Des informations que chaque randonneur à ski, dans la préparation de sa sortie, se doit de consulter.
Aussi importantes que les prévisions météo, ou la nécessité d’emporter avec soi le trio Pelle-Sonde-Arva. Mais comment est donc préparé ce bulletin ?
Comment s’effectuent les relevés ? Quelle fiabilité ?
Pour Thierry Arnou et ses collègues, nivologues à la station de Bourg Saint Maurice, c’est encore le ski de randonnée qui représente le meilleur moyen d’aller sur le terrain… .
– REALISATION : MARC DE LANGENHAGEN –

 

Enfants des montagnes, Enfants des Villes

Les enfants de la montagne, une classe unique de 5 élèves à la Chapelle en Valgaudemar avec leur institutrice venue de la villeLes enfants de la ville : ils viennent de Belgique en classe de découverte dans la vallée d’à côté, le Champsaur..
– REALISATION :LAURENT CISTAC –

 

L’ascension de Chasseforet

Un groupe d’adolescents de 12 à 14 ans quitte sa colonie d’Albiez (Savoie), le temps de l’ascension du Dôme de Chasseforet, une vraie course glaciaire, avec 2 300 m. de dénivelé, et une nuit en refuge !
Une expérience inoubliable pour des jeunes de cet âge là !
– REALISATION : FREDERIC DERETT –

 

Les «Déneigeurs » de la Meije

La N91, de Grenoble à Briançon, une route stratégique, un axe de communication important, le lien entre 2 départements, l’Isère et les Hautes-Alpes.
Depuis les années 50, la DDE a pour mission, l’hiver, d’assurer l’ouverture du col, en permanence à la circulation. La mission est difficile, parfois périlleuse.
C’est pourquoi les hommes de la DDE et leurs machines impressionnantes, y ont connu nombre d’aventures….
– REALISATION : MARC DE LANGENHAGEN –

 

Le vent de la glisse

Le Col du Lautaret, un véritable entonnoir pour les vents venus de la vallée, ou de la montagne. C’est aussi un col relativement large, sans obstacle majeur à la pratique d’une nouvelle forme de glisse : le snow kite.
Apparue au Lautaret il y a une dizaine d’années, cette discipline est une variante du kite Surf qui se pratique sur l’eau. Un surf ou des skis aux pieds, une voile comme moteur et la montagne s’ouvre aux riders, en trois dimensions.
Amaury, Régis, Hugues, une poignée d’irréductibles, nous font découvrir ce nouveau sport..
– REALISATION : MARC DE LANGENHAGEN –

 

Mont-Aiguille, montagne de la fascination

Le Mont aiguille est l’archétype même de la montagne qui fascine, une fascination qui date de 1492. Bernard l’a gravit 1000 fois en 30 ans ! et Simone Vierne raconte l’imaginaire inconscient qui travaille devant cette montagne (Simone Vierne a dirigé le centre de l’imaginaire à l’université Grenoble)..
– REALISATION : LAURENT CISTAC –

 

L’imaginaire spirituel de la montagne

Quatre personnes vivent et travaillent au centre bouddhiste Kharma Ling ; ils partent pour une randonnée pour pratiquer la « marche inconsciente » une méditation active en rapport à la montagne.
– REALISATION : LAURENT CISTAC –

 

M. Paul from St Jean d’Aulps

Paul Lovelle est anglais. Depuis quelques années, il s’est installé dans un village de Morzine, à Saint Jean d’Aulps.
Paul fait parti du comité des fêtes du village, sa femme travaille aux remontées mécaniques, et ses enfants sont scolarisés comme un dizaine d’autres britanniques.
Symbole d’une intégration réussie, Paul a su trouver une activité professionnelle dans l’immobilier, il construit ainsi des chalets qu’il vend… à des anglais.
– REALISATION : FABRICE FERRARI –

 

Paul Emile Victor

Wittou pour les eskimos, Pilemol pour Raymond Queneau et les pataphysiciens ses amis, « PEV » pour ses confrères des expéditions polaires, Paul Emile Victor est né avec le siècle et s’il a connu plus d’un nom, c’est qu’il a connu plus d’une vie avant de disparaître il y a tout juste 10 ans.
Ingénieur, aviateur, marin, ethnologue, écrivain, dessinateur hors pair, humaniste, écologiste avant l’heure, il n’a pas eut de trop de 87 années d’existence pour « faire ses aventures ». L’aventure qu’il définissait lui-même comme « la capacité de refuser son destin d’industriel jurassien, de ne pas être un assis ».
C’est donc debout et à toute allure que PEV va foncer dans le siècle des deux pôles à Bora-Bora où il se retirera. Il aura permis entre autres choses l’institutionnalisation de la recherche scientifique aux pôles en étant l’instigateur des EPF (expéditions polaires françaises), une connaissance accrue du peuple eskimo, la découverte en France des chiens de traîneaux.
Un rôle en tous points comparables à ceux joué dans leur discipline par ses amis et congénères qu’ils se nomment Cousteau, Tazzief et autre Herzog…
Son héritage est donc conséquent, Daphné, sa fille, Stéphane son second fils et Stéphane Niveau, responsable du Centre Polaire Paul Emile Victor et grand « victorien », nous aide à revenir sur un homme hors norme.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

Des raquettes pour de la poudre !

La raquette est le seul engin capable d’emmener un surfer au sommet d’une pente de neige, vierge de toutes traces. Domaine historiquement réservé aux randonneurs à ski.
À la Grave, au pied du massif de la Meije, Patrick emmène un groupe désireux de devenir autonome avec des raquettes aux pieds en haute montagne. Sécurité et respect de la nature sont la base de l’enseignement.
Pour les confirmés, nous irons serpenter entre les crevasses du glacier de la Meije avec le guide Pierre Rizardo et quelques surfers. Quelques heures de marche encordée pour s’offrir une descente en poudreuse dignement méritée.
– REALISATION : GILLES BOUR –

 

Au boulot, les touristes !

Dans la vallée très fermée de la Clarée, l’agriculture a cédé la place aux loisirs nordiques et à l’oisiveté touristique depuis bientôt 20 ans.
Pourtant, au détour d’une ruelle enneigée de ces petits hameaux d’altitude, on peut encore parfois sentir le parfum du bétail beuglant du fond des caves voûtées où ils passent l’hiver, dans la maison de leurs propriétaires. Aténor, Emile et Bernard ne voient aucune noblesse dans le tourisme. Et puis ils ont autre chose à faire que de tenter de le comprendre : Ils travaillent, eux !
Rencontre avec les 3 derniers agriculteurs de la vallée au caractère bien trempé.
– REALISATION : GILLES BOUR –

 

Le ski de fond moderne ?

Chapelle des Bois, dans le massif du haut-Jura est réputée pour être un des plus beau site de ski de fond français.
Son altitude (entre 1000 et 1400 m), la quantité et la qualité de ses pistes, la beauté se ses paysages font la joie des fondeurs. Mais à quoi ressemble le ski de fond aujourd’hui ?
Entre les partisans du pas de patineur et ceux de l’alternatif, abandonné par certains au profit de la raquette, victime d’une image ambivalente, à la fois très technique et un peu vieillotte, le ski fond semble se chercher.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

La pépinière nordique

Depuis 30 ans, le Centre National de Ski Nordique est implanté à Prémanon dans le Haut-Jura.
Outre son rôle de formation des moniteurs de ski nordique, il est également chargé, à travers « le pôle France », de la formation des jeunes athlètes des disciplines nordiques.
Ainsi les meilleurs jeunes nationaux dans les disciplines du ski de fond, du combiné nordique et du biathlon séjournent à Prémanon.
L’occasion de découvrir deux disciplines, le biathlon et le combiné à travers le portrait de deux grands espoirs mondiaux : Marion Blondeau et Jason Lamy Chapuis, tous deux jurassiens.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRU –

 

Remonter la pente

Pierre Montaz, 81 ans, fondateur de la société Montaz-Montino, a installé plus de 2 500 téléskis de par le monde. Avec lui nous revenons à La Plagne au-dessus de la piste de bobsleigh où subsistent les vestiges d’un pylône de téléski de 1942. Il nous parle de cette époque de pionniers où tout était à faire et de son amitié et de sa collaboration avec Jean Pomagalski, inventeur du téléski débrayable.
Puis nous irons aux Menuires où la société Pomagalski donne les dernières touches à une télécabine toute neuve. Clément Gay, directeur technique et maître d’ouvrage, Alain Mouquet, maître d’œuvre et contrôleur pour la société DCSA et Philippe Lavil, directeur adjoint des opérations chez Pomagalski, nous parlent de la mise en œuvre d’un tel appareil et des normes de sécurité indispensables.
– REALISATION : FABRICE FERRARI –

 

Une aventure en béton

Début août, un incendie se déclenche dans la gare d’arrivée de la Plagne, au pied du glacier. La décision est rapidement prise ; il faut reconstruire le bâtiment pour la saison d’hiver.
Gilbert Nacarrato est chargé du chantier pour le compte de la COMAG, principale entreprise de montage de remontées mécaniques. Il y a 19 kilomètres de pistes entre la Plagne 1800 et la gare.
Pour tenir les délais, une base-vie est installée à 3000 mètres d’altitude. Nous partagerons le quotidien de ces hommes qui travaillent dans des conditions météos changeantes et difficiles, le temps d’une aventure humaine et technique.
– REALISATION : FABRICE FERRARI –

 

Au sommet des pylônes

En octobre à Flaine tout est calme. Seuls les coups de marteaux résonnent et les hélicoptères décollent. Jean-Marie Dubourgeal est chef d’équipe pour la société «Coppel Maintenance» qui comme son nom l’indique s’occupe de la maintenance d’appareils de remontées mécaniques. Aujourd’hui, à l’aide de l’hélicoptère, Jean-Marie et son équipe vont remettre en place des balanciers de télésièges.
Il nous parle des difficultés du métier mais surtout du bonheur d’être en montagne, seul au monde, loin de la ville et du brouillard de la vallée.
– REALISATION : FABRICE FERRARI –

 

Y a plus de neige !

On entend souvent dire dans les montagnes qu’il y a moins de neige qu’avant… les scientifiques confirment ces observations empiriques.
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

Retenues collinaires

Au Grand-Bornand , on construit actuellement la plus grande retenue collinaire de France pour pouvoir, à terme, enneiger 60% du domaine skiable.
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

Images du Jura : Les yeux dans l’eau

Michel Loup à travers ses photographies aquatiques et subaquatiques essaie de donner une autre image du Jura beaucoup plus exotique.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

Images du Jura : Gérard Benoît à la Guillaume

Gérard Benoît à la Guillaume est photographe dans le Jura amis pas du Jura. Une nuance importante à ses yeux.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

La station va fermer

Depuis quelques années, le conseil général de la Haute-Savoie s’est lancé dans une nouvelle politique montagne en constatant que plus de 50 % des stations étaient largement déficitaires.
Dans la vallée d’Abondance, il préconise la fermeture de la station d’Abondance…
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

La station réhabilitée

A la station du «Mas de la barque» dans les Cévennes, on a décidé d’arrêté le ski alpin pour créer une station de pleine nature.
Une décision loin de faire l’unanimité…
Infos pratiques
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

Le barrage et sa surveillance

Le barrage de Serre-Ponçon a été mis en service en 1961. 39 ans, après comment se porte le barrage? Merveilleusement bien pour Jean-marc son responsable et Guyslain un des techniciens chargé de surveiller l’évolution du mastodonte. Chaque jour, Guyslain plonge dans les entrailles du monstre. Nous le suivrons dans des endroits interdits au public et avec lui nous comprendrons comment il prend “le pouls” de son illustre patient…
Pour ne pas finir claustrophobe dans ces dédales de béton, Guyslain nous emmènera au pied du barrage en bateau, nous permettant des vues de l’édifice que seul le personnel à la chance de pouvoir contempler.
– REALISATION : FREDERIC SAUZAY –

 

L’historique du village de Savines

La construction d’un barrage pour réguler la Durance à profondément transformé le relief de la région. Le village de Savines qui allait se trouver sous les eaux du nouveau lac fut rasé et reconstruit plus haut portant le nom de Savines le Lac. Que reste-t-il de l’ancien Savines ? Rien!
Le village fut entièrement détruit, maison par maison. Enfin si, il reste la mémoire de deux anciens habitants de Savines : Roger Cézanne qui a filmé en super 8 la longue agonie de son village et Martial Brunarossot.
Avec eux, nous partirons à la recherche de l’ancien Savines et des souvenirs qui n’ont pas encore sombrés sous l’eau du lac.
– REALISATION : FREDERIC SAUZAY –

 

Le Loup : Retour dans le Mercantour

Durant l’hiver 94, le loup fait sa première réapparition en France dans le parc du Mercantour. Après une période d’incrédulité générale et devant les attaques répétées, les éleveurs doivent finalement admettre qu’une page de leur histoire est tournée : finie la tranquillité ! Chaque jour il faudra désormais veiller et trouver les meilleurs moyens pour se protéger.
– REALISATION : CHRISTEL CHABERT –

 

L’edelweiss : la star des Alpes

Si la montagne devait un jour se choisir un symbole, nul doute que l’edelweiss serait celui-ci. Qu’on la nomme léontopodium alpinum (pied de lion, son nom scientifique), patte de lion, étoile d’argent, étoile des glaciers, reine des glaciers ou immortelle des neiges, elle représente parfaitement les images attachées à l’espace montagnard : la pureté, la blancheur, la rareté.
La Suisse ne s’y est pas trompée et l’a élevée au rang de symbole national, avec plus ou moins de bonheur puisqu’on la retrouve bombardée sur tous les objets souvenirs, jusqu’aux oeufs durs (!) vendus en supermarché, qui arborent fièrement un autocollant représentant l’étoile des neiges.
Une profusion de représentations qui contraste singulièrement avec la (relative) rareté de la plante, protégée depuis plus de 40 ans. Protégée mais depuis quelques années, cultivée, puisque les industries cosmétiques et alimentaires (une célèbre marque de bonbons suisses) se sont intéressées aux vertus de la plante.
Cette culture a été confiée à des paysans valaisans dans une vallée située à 1100 mètres d’altitude, sur une vingtaine de parcelles et l’on peut donc, au détour d’un chemin, dans cette vallée alpine, découvrir le spectacle surnaturel d’un champ d’edelweiss… La très sérieuse station fédérale de recherche agronomique s’efforce ici de mieux connaître l’étoile des neiges.
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

Les maquisards de l’alambic

Rien ne prédisposait, l’absinthe, plante aromatique et amère, variété de l’armoise, à devenir une des plantes les plus sulfureuses du monde floral. C’est à la fin du XVIIIe siècle que l’absinthe, associée à d’autres plantes, devient une boisson alcoolisée distillée dans une petite région du Jura neuchâtelois, en Suisse : le Val de Travers (sic!).
Le succès de la boisson est tel qu’il va rapidement faire de l’ombre aux… viticulteurs qui n’auront de cesse de dénigrer le fameux breuvage. Accusée de tous les maux par les ligues de vertus et anti-alcooliques, elle est prohibée en 1908 en Suisse. La source du mal : la thuyone, une substance dangereuse qui provoquerait démence et violence chez des consommateurs trop zélés, De cette interdiction naîtra le mythe de la fée verte. Depuis ce printemps 2005, « le lait du jura » est à nouveau autorisé.
Pendant près d’un siècle, ces jurassiens à l’esprit frondeur vont continuer à distiller clandestinement jouant aux chat et à la souris avec les autorités fédérales, s’offrant même le luxe de devenir les fournisseurs (officieux) du prince Rainier de Monaco ! Willy Bovet a connu cette époque de contrebande massive dont il était un des acteurs, ce qui ne l’empêche pas aujourd’hui d’être un des premiers producteurs légaux de « la bleue ». L’occasion pour nous de revenir sur ses anciennes pratiques et de savoir ce que la légalisation de la fée verte a ou va changer…
– REALISATION : CHRISTOPHE FERRUX –

 

Les glaciers : l’itinéraire oublié

A cause de la fonte des glaciers, il n’est plus possible de pratiquer des courses en été sur neige ou sur glace. C’est le cas de l’itinéraire historique du Mont-Blanc.
Les guides doivent s’adapter à cette nouvelle réalité.
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

Emballage glaciaire en Suisse

Pour garantir l’accès à ses pistes, la station d‘Andermatt en Suisse centrale a décidé d’emballer une partie du glacier pour l’empêcher de fondre…
– REALISATION : GILLES PERRET –

 

Naissance d’un lac glaciaire

Les glaciers reculent suite aux réchauffements climatiques : un nouveau risque naturel apparaît, la création de lac naturel sous les glaciers qui fondent.
Le Lac d’Arsine apparaît dans les années 40, et menace de s’effondrer en 1985…
– REALISATION :LAURENT CISTAC –

 

Le vin des cimes : Liban

Le Liban est plus précisément la plaine de la Béqaa a été longtemps «célèbre» pour ses cultures illicites, de cannabis, notamment.
Quand on en décida l’éradication, les paysans se trouvèrent fort démunis. La vigne peut être une culture de substitution. C’est l’histoire des «côteaux» d’Héliopolis, la 1ère coopérative qu’on voit ici.
– REALISATION : FREDERIC DERET –


PRODUCTION : EVELYNE JULY – JEAN MICHEL RODRIGO
COPRODUCTION : MECANOS PRODUCTION – FRANCE 3
AVEC LE SOUTIEN DU CNC